Accueillir le pardon de Dieu
Parfois, à l'école, avec nos copains ou nos copines, parfois à la maison, avec notre frère ou notre soeur, ils
nous arrive de nous disputer : "Je ne t'aime pas !" "Je ne te donnerais plus de bonbons !" On dit des gros mots !
Heureusement, nous finissons par nous réconcilier : "Pardonne-moi, je me suis mal conduit !"
Nous avons lu la parabole du père aux deux fils.
Voici ce que nous avons retenu :
"Quand le fils demande sa part d'héritage, le père lui donne sans poser de questions : il pense qu'il va en faire bon usage,
il veut le bonheur de son fils. Le fils dépense tout pour rien ; puis, quand il y a une grande famine,
il se retrouve comme en esclavage, il se rend compte qu'il était mieux chez son père.
Il décide de revenir chez son père et lui dit qu'il se rend compte qu'il a mal agi.
Le père lui pardonne en organisant une fête.
Le fils aîné est jaloux : il a travaillé énormément et ne reçoit rien. Son frère n'a rien fait et il reçoit quelque chose.
On dirait que le père préfère celui qui est revenu.
Le père aime son fils aîné, il l'invite à festoyer avec eux et lui dit : "Tout ce qui est à moi est à toi".
"Quand on part, quand on s'éloigne de Dieu, on peut toujours revenir. Et il ne faut pas être jaloux comme le fils ainé !"
Paul nous apprend à vivre dans l'Amour de Dieu :
"... s'il me manque l'amour, je ne suis rien."
L'amour prend patience ;
l'amour rend service ;
l'amour ne jalouse pas ;
il ne se vante pas, ne se gonfle pas d'orgueil ;
il ne fait rien de malhonnête ;
il ne cherche pas son intérêt ;
il ne s'emporte pas ;
il n'entretient pas de rancune ;
il ne se réjouit pas de ce qui est mal, mais il trouve sa joie dans ce qui est vrai ;
il supporte tout, il fait confiance en tout, il espère tout, il endure tout.
1 Corinthiens 13 /2, 4-8